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(3 edits)

Au niveau du système, le principe des atouts (meilleurs 2d de 3d6) et complications (moins bons 2d de 3d6) décale aussi le résultat moyen du jet de -2 (si on a une complication, on fera plutôt 5 aux dés) ou +2 (si on a un atout, on fera plutôt 9 aux dés), ce qui nécessite d’avoir de meilleurs bonus pour réussir quand même dans un cas, ou de se lancer même si on n’a pas des gros bonus dans l’autre. Les degrés de difficulté s’étageant aussi par +2 / -2 autour de la difficulté modérée de 0, avoir une complication revient à augmenter le MOD (Modificateur Optionnel de Difficulté) de 2, avoir un atout revient à diminuer ce MOD de 2.

Ainsi qu’on peut le voir sur Anydice

Quand je ne réfléchis pas à EG-OSR, je joue principalement à D&D5 (après avoir joué à Chroniques Oubliées, jeu français dérivé de l’OGL d20 de D&D 3.5). Les atouts et complications de EG-OSR sont directement inspirés de l’avantage / désavantage de D&D5. Mais je ne considère pas le d20 comme un objet sacré. Je n’ai pas du tout aimé les premières versions de D&D B/X avec lesquelles j’ai découvert le JdR dans les années 80 à cause de l’incohérence des règles de résolution (d20 au dessus, d20 en dessous, d100, parfois d6), c’est pourquoi j’avais adoré EG avec son élégante mécanique unique. Ce n’est que depuis D&D3 et l’harmonisation du système avec le jet unique de d20 pour déterminer succès ou échec que j’apprécie de jouer avec un d20 ;-)